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29072011

Caractère de ce qui est de l'ordre de l'âme:
La belle épousée se fait cueilleuse en dictame
Mais vous tous! La voyez-vous qui vous éclabousse?
Car voici bien de l'amour à notre rescousse!
Celui-là qui parait dans la lumière des justes:
Grain de ciel semé par un semeur auguste,
Sel de lumière en nous, venu germer à vie;
Nourricière des nues, ô, belle âme ravie!
Vénus nue pour que la volupté éternelle:
S'annonce volontiers comme bonne nouvelle...
Révolte, en contre de la matérialité!
L'ère de l'être aux lettres de la partialité;
 
par Robert Le DU - Commentaires: 0 - Vues: 906
25072011

Femmes sublimes,femmes ensorcelantes
Créatures divines à beauté angélique.
Permettez-moi de faire votre éloge
Moi qui s'y adapte à peine:
Laissez-moi reconnaitre vos peines
Malgré mes petites expériences............................................
 
par virgilus - Commentaires: 3 - Vues: 536
29122009

Le petit âne perdu en marchant
sans compromis dans l'Avenue d'Anel Viario
entre voitures, autobus et camions

même sans lui savoir à où aller
il allait heureux - en observant par les côtes
libre, liberé - sans travail
sans charrette pour tirer
sans fouet pour cueillir

il allait heureux sans destin..

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par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 674
30082009

CA PASSERA, JE NE SAIS PAS QUAND, MAIS CA PASSERA

elle passera,je ne sais pas quand, mais elle passera
cette douleur qui torture mon coeur souffrant
et qui est semblable au retard de l'éternité
du conflit émotionel entre l'acceptation et la négation

pourtant
un beau jour un nouveau soleil brillera
et les nuages de l'incertitude disparaîtront
la vie sera toute jolie et heureuse
et tant de belles fleurs écloreront
dans le désertique jardin de mon existence

malgré que j'aie encore froid au coeur
et que parfois m'envahit...
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 383
15082009

Mon fils et moi

je suis là
main dans la main avec mon fils
plantant les semences de notre futur
afin de pouvoir venger notre temps
contre les journées noires à venir

Nous arrosons d'espérances nos beaux rêves
pour qu'éclore en petits morceaux de bonheur la réalité

Nous sommes liés dans la même trace de l'existence
ensemble nous grimpons les degrés de la souffrance
jusqu'à la sublime conquête de l'apothéose finale.

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par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 376
14052009

Peut-être que la vie ne dure pas
comme les pierres de cette boue
ni ne récupère le shoot dernier
dans le souvenir du passé
lévres sanguinaires
ni ne surmonte les espérances
dépréciée dans le sein
l'ambition de tout juger sans rien savoir
de lutter contre le monde
de cultiver des champs incultivables
pigments de sang dans le corps abandonné
papiers déchirés, odeurs désagréables,
livres pour être lus, pespective de nouveauté,
froid rasant et pénétrant de l'aube.

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par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 429
09052009

Nous les poètes
on est gens simples, on marche toujours observant les choses
dans la recherche de la perfection spirituelle bien qu'en retard

On passe par la foule anonyme
on est des êtres normaux dans une vie anormale

Nous les poètes
on cohabite avec gens de toutes niveaux sociaux
cicatrisant leurs pauvres vies souffrantes
la poésie c'est libre comme le ventde nos rêves
on la chasse où il y a l'amour, la paix, la beauté
la perfection par la sainte inspiration

Nous les poètes
on est personnes communes dans le monde inconformé
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 562
05052009

Portrait de la ville

je garde dans la mémoire du temps
les scénes du quotidien de ma ville
des malheureuse prostituées sans amour
aux gais poètes ivrognes

Dans la rue la vision c' est routinière
il y a tristesse et mécontentement
ils ne parlent pas de la paix
le portrait de la violence
estampée dans les journaux

les enfants abandonnées
le vieillard aussi abandonné

Aujourd'hui l'abandon
c'est le mot à la mode

Desterro,1978

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par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 526
01052009

LE PETIT ÂNE BOITEUX


l'après-midi de pluie ciel nuageux
dans la rue déserte asphalte mouillé
un petit âne marchait passablement
bien doucement et avec très soigné
et il arrêtait pour respirer - il boitait

pauvre bête qui souffrait dans le silence
victime de l'insanité des hommes
chacun pas une difficulté
Combiens bouches il avait nourri et il avait habillé
et maintenant il était abandonné a propre chance

payant par la brutalité des autres
clochant par un abri et nourriture
il erre péniblement sans destin
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 596
20042009

Le quartier du Desterro
c'est ma patrie, mon village
mon port où, moi je refugie mon âme
et tous mes moments de dépression

Marcher par les rues de mon passé cher
et recharger mes forces perdues
des chocs oisifs de mes jours sans avenir

remède pour toutes mes neurones
la grande muse de mes poèmes

une fureur inexplicable
qui a enraciné dans mon univers
sans demander permission

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par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 522
25032009

je suis prêt par mon grand voyage sans tour
je n'ai plus rien de bon dans ce monde sans couleur
rien je n'ai pas joie ou je m'apporte la bonheur

toutes les portes et lumières sont fermées par moi
sans espoir et seul - je suis mon chemin par les traces de malheur
jusqu'à mon dernier calvaire.

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http// desterro.forumactif.com
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 553
19022009

quand j'étais petit Vos Poèmes Waterlily-01-june-b7970
mon monde était merveilleux et parfait
les rêves étaient bleus et purs
la maison était le centre de ma vie
mes parents étaient les Dieux de mon univers en formation

l'innocence inondait mon âme
avec les dessins animés de d'Hanna-Barbera Vos Poèmes 0_17b52_f8417d1f_s-99c3af

le temps passait doucement
sans que moi je perçoive
qu'en dehors de mon beau paradis
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 422
30012009

LE CHEVAL VIEUX ET LE TEMPS

un vieux cheval vieux l'ombre d'un arbuste
contemplait tranquillement le point de jour en pied dans la Place Sept Palmiers

autrui au mouvement quotidien de toutes matinées
il ruminait patient leurs pensées perdre et jamais trouvés

les ouvriers attendant leurs bus
les mesdames faisant leurs promenades à pied
avec leur voisine - papotant sur la vie
un enfant somnolent baillait avec un sac de pains dans le coin du Marché
le bus bleu plein de gens anxieux par arriver leurs travaux

et le vieux cheval...
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 502
15012009

LES ALCOOLIQUES


ils sont chez partout
hommes perdus avec une histoire triste
une désillusion amoureux - abandonnés par leurs familles

parfois couchent et dorment
dans les trottoirs froides et sales des marchés
ou dans les bancs des places

mangent les restes des nourritures rejetées par la société insensible
la sa tragique maladie

et ainsi ils vont apportant ses malheureux vies
toujours en quête de sa dernière dose.

www.rnrodrigues.over-blog.com
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 566
19112008

PLACE SEPT PALMIERS - PETITE VILLE EMBRATEL
1. l'INCONNU VENDEUR DE PASTEQUÉS


de bas d'une touffu manguier
dans l'arrêt de bus devant le marché
il arrive dans la même époque
avec un camion chargé pastèqués et d'espoirs

il les décharge avec très soin et les rangent autour de l'aube
il travaille sans repos - soleil à soleil
dormant sur les caisses de grandeur moyenne de bois
et peu à peu ses marchandises sont vendues
aux clients qui reclament toujours...
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 628
08112008

une vache sale et maigre se promène très chic

sur le trottoir de la petite ville

au début d'un soir sans lune



elle marche doucement, balançant la queue

sans se préoccuper des gens ou du temps

regardant de côté

soupçonnant des êtres humain


http// www.rnrodrigues.over-blog.com
Saint-Louis du Maragnon, Brésil
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 565
30092008

MIRACLE POÉTIQUE OU RENAITRE D'UN POÈTE


je suis un Fênix qu'à renaitre des ceindrais poétiques
après dizaines d'années reniant les mes cahiers des rêves
vivant un chemin sans lumière et sans objectif apparent
dans le monde qui n'était pas le mon

mais toujours écrivant sans penser
j'ai écrit de tout - moins poésie
par moi - la poésie était morte

alors - dans une nuit sans étoiles
j'ai découvert ce site poétique et ma vie a changé

la poésie endormie au fond de moi
elle est venue la surface - et le poète comme un...
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 661
25092008

UN HOMME SIMPLE


je suis un homme simple
sans vanité et ni richesse
seulement un être qui cherche
dans la poésie l'abri pour sa turbulente âme perdue

un simple homme simple
sans temps par perdre
ou se préoccuper avec le demain
regardant et sentant les fleurs fraiches de l'aube
donnant voix pour les sans voix
qui n'entre pas dans les poèmes bien-fait

un poète solitaire dans la douleur
marchant sur les adversités de la vie
observant le monde d'un fênetre d'un bus en mouvement
dans le centre de la ville désertée
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 491
20092008

LE PETIT PÊCHEUR DE CREVETTE

Samedi - matin de soleil - l'avenue des Portugais
assis seul dans l'arrête de bus devant le Campus Université
un enfant de dix ans - avec un réseau de trainer crevette
enroulée sur les jambes - attendait anxieux son père ou grand-père
par pêcher crevette dans la rive du Lac Bacanga

Tranquille - il iriait pêcher - aider son père ou grand-père
gagner la nourriture du jour et l'après-midi jouer football
avec ses petits amis de la rue et rêve... qu'est le Ronaldinho du asphalte

l'atelierdelavie - Petite Ville...
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 475
12092008

AUTOBIOGRAPHIE SPIRITUELLE - I


un voyage sentimentale au mon monde particulier
dans les entrailles de mon passé lointain
de la passion appelé Desterro
de la maison 503 - rue Afonso Pena
où ma chérie mère a enterré mon cordon ombilical

des pluies cendrées dans les après-midis d'été
quand l'odeur salé des marées de mars
mélangées aux fumées des fabriques sans âmes
et la puanteur insupportable d'égout bouché dans la chaleur du midi
envahissaient notre salle à manger - et nos vies en formation

l'atelierdelavie - Petit Ville...
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 318
24082008

larme


Petite partie de mon mal, douleur que tu as créé,
blessures de l'ame, brulures sur le coeur,
et ma douleur gravé a jamais sur mes poignets,
vielle rengaine du loup qui me chante la sérénade pour leurre,


je la sens d'abord dans mon ventre noué,
remontant en serpentant vers mon coeur serré,
et elle se coince dans ma gorge transformant ma voix en murmure de peine,
je la sens briller dans mon iris cette tristesse de ta haine,


elle est là sur le point de franchir mon oeil,
elle glisse délicatement sur un cil,
 
par Kirasan - Commentaires: 3 - Vues: 365
08082008

UNE MATINÉE D'ESPOIR


les fils d'aluminium coupant le ciel bleu
les nuages blancs en forme de petites moutons
le charretier fâché avec son âne et son maigre chien galeux
une femme préoccupée par le payement du loyer retard trois mois
le chômeur angoissé avec sa situation
il fut abandonnée par sa femme et deux fils

les feuilles des palmiers lointains arrêtées au temps beau
et un soleil généreux brillant par tous
chauffent les nos espérances et rêves d'une journée mieux


l"atelierdelavie - Petite Ville Embratel,...
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 1 - Vues: 441
29072008

LE DESTERRO DE MON ENFANCE



je ne vivrai pas seul - moi j'ai l'espérance de reconstruire mon temps perdu

d'écrire les rêves du passé et revoir mon enfance heureuse

courant innocent par les ruelles désertes de mon Desterro bien-aimé



admirant les fous nus se lavant dans les rives de la rivière Bacanga

les bateaux dansant dans le ballet de la marée

avec leurs coloriées voiles ouvertes séchant au soleil du midi



les bateliers ivres luttent par les putains de la vie

les voleurs divisant...
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 327
16072008

PLEURS PAR LE GRAND-MAÎTRE SAPO





La mort arrive sans date marquée et sans demander permis

Entre dans l’infirmière d’hôpital public et porte au ciel – Maître Sapo



 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 1 - Vues: 462
11072008

le soir d'été sans vents


la félicité jamais c'est total
c'est comme un grand casse-tête
toujours manque un morceau

c'est un train au hasard du temps
traversant le désert de mon âme triste
sans destin programmé -
les yeux ouvertes au rêve heureux.

Latelierdelavie - Petite Ville Embratel
Saint-Louis du Maragnon - Brésil
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 1 - Vues: 413
11072008

ATTENDANT MADAME VANDA





Ainsi comme un amant attend l’amour

Il attendait patient perdue Madame Vanda arriver

 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 1 - Vues: 336
06072008

Vos Poèmes Icon_minipost-8fa1fPosté le: Aujourd’hui à 20:05:23 Sujet du message: MON NAISSANCEVos Poèmes Icon_quote-8fa12
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 1 - Vues: 310
06072008

je suis poète
je chante la vie / l'amour / la solitude / la guerre
toutes les disgrâces du monde

oui, je suis poète
je fais des vers hermétiques
je travaille avec des mots durs et flexibles

je suis un fou criant dans la foule
un nevrotique qui cherche la beauté dans la laideur

je cherche l'expérience
(je ne la trouve pas, elle se cache dans l'air de la vie)

je cherche la paix
(je ne la trouve pas - elle aussi se cache en quelque lieu au fond de moi)

Je suis poète
Ma vie est un poème interminable qu’un...
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 1 - Vues: 501
10072008

"

De l'apéritif




Sous l'alme pergola où ploie le chèvrefeuille,
Aux gosiers se mêla paroles et bourgueils.
Un panache floral laissé choir du haut frêne
Se brassant aux fumées de la tablée sereine,

Dans l'air chaud des soirées, a enneigé la scène.
L'albédo du plastique aux convives support
Ternit les nivaux pics et assécha les ports ;
Mais animait les fards et anisait l'haleine.

L'œnanthe safranée, des bourdons l'héliport,
En ombelles moussait comme blanche...
 
par og - Commentaires: 1 - Vues: 384
10072008

MÊME - SCÈNE D'UN QUOTIDIEN


toujours dans la même lieu de toujours
assis dans la même chaise sans fleurs
écrivant dans le même cahier sans couleur
rêvant les mêmes songes impossibiles
vivant la même routine de la vie et ainsi s'en va le temps

l'homme solitaire dans l'aube
marchant dans les rues du monde


l'atelierdelavie - Petite Ville Embratel
Saint-Louis du Maragnon, Brésil
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 440
06072008

RUE DE LA PALMA (quartier du Desterro)



les prostituées se mêlent au quotidien
reines des nuits
étudiants et ivrognes cherchent
un abri pour leurs escapades nocturnes
le jour rayone et la vie continue


[b]Miniature(s) jointe(s)


 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 340
04072008

RUE AFONSO PENA* (QUARTIER DU DESTERRO)



Defigurent ta paix
le bois est scié jour après jour
les tisserands tissent le temps
la vie passe
sans battre le point final


rue où moi je suis né. Maison 503
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 372
04072008

l'église du Desterro

je prie jour et nuit
devant ta tour symbolique
pour demander à Dieu
sa protection à l'heure
du jugement dernier

maisonBamba - Desterro,1982
Saint-Louis du Maragnon - Brésil
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 365
03072008

LA PLACE DU DESTERRO




terrain de football
sénat où se parle mal
de la vie des autres
scénario sacré
de la vie historique



Miniature(s) jointe(s)


MaisonBamba - Desterro, 1982
Saint-Louis du Maragnon, Brésil
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 277
01072008

LA PLAGE DU DESTERRO

aujourd'hui
les terres ont avalé
les rats et urubus se battent
pour les restes laissés
pour les sauvages destructeur



maisonBambe - Desterro,1982
Saint-Louis du Maragnon, Brésil
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 277
29062008

Dans la vision froide d'une aube
un homme dans la pluie appuyé dans la porte du temps
solitaire dans sa douleur - l'haleine chaude - physionomie

vêtement mouillé - pensées isolées
peut-être le sentiment aussi mouillé
la pénombre interne des vents est froide

ici moi froid accueillant
et lui froid coupant l'âme dans la froide aube de pluie.
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 1 - Vues: 292
01072008

Le voleur de farine



Vouloir être, sans avoir été





Au temps des vaches maigres

En le pays françois

Vivaient des villageois
 
par Don Diego - Commentaires: 1 - Vues: 354
01072008


[b]Le voleur de farine




Vouloir être, sans avoir été





Au temps des vaches maigres

En le pays françois

Vivaient des villageois

Travaillant comme le Nègre



L’un d’eux, le boulanger

Malgré son dur labeur

Avait cœur à l’ouvrage



Pour acquérir le blé

Il oubliait ses heures

Son être chantait courage



Un voisin, d’une tête un peu tendre

N’observe que le résultat

L’idée...
 
par Don Diego - Commentaires: 0 - Vues: 272
30042008

De tous temps les nuits sont prétexte à la Dame faux, mais il en est une autre
qui fait reflet miroir à une étoile pour mieux éclairer nos vies.


La naïade au teint bleu.


À l’heure où le char de Phoebus atteint le crépuscule
À l’instant ou s’embrase l’ouest d’un azur incrédule
J’ai vu percer l’acier ridé d’un lac aux algues rousses
J’ai vu sombrer la Dame dont le teint pâle éclabousse
 
par Robert Le DU - Commentaires: 6 - Vues: 518
28062008

Vos Poèmes Post-11162-1208568887
moi je suis sorti du quaVos Poèmes Post-11162-1208568887
moi je suis sorti du quartier du Desterro
mais le quartier du Desterro - il n'est pas sorti de moi
il est impregné dans l'air d'univers sans couleur
dans les rêves des nuits sans lune
- les aubes froides de cette petite ville sans poésie.


l'atelierdelavie - Petite Ville Embratel,2008
Saint-Louis du Maragnon,...
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 398
27062008

LE MENDIANT


déchiré va le mendiant
marchant par les sentiers de l'humble
chargeant un mal habillé corps
amenant leur pauvreté et leur malheur de porte en porte
demandant aumône ainsi il reussit leur nourriture désiré
- Donne-moi une aumône par l'amour de Dieu - dit il
tendant la leur malheureux main à foule que passe

Et ainsi il continue son itinéraire
marchant par trace divers dans le monde
de ville en ville de rue en rue
il va pauvre malheur qui rien il a seulement un corps fatigué vieux et mal habillé.
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 349
26062008

PORTRAIT D'UN PORT APPELLÉ DESTERRO


chaloupes
grandes et petites
blanches et noires
sont ancrée là au port
debarquant et embarquant
marchandises, animaux, poissons des plages lointanes et vies

Charretiers, chauffeurs, vendeurs de poisson et trafiquants
et acheteurs se mélangent
autour d'un grande balance
pèsent, achetent, reçoivent et paient et retournent à leur petit monde

Rustiques, bateliers, porteurs et vicieux discutent le prix des choses
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 364
25062008

l'homme de blanc sur banc de la place




L'HOMME DE BLANC SUR BANC DE LA PLACE


Sur la place tout passe
moins l'homme en blanc
assis sur le banc de marbre de la place

mais l'homme de blanc sur le banc de la place
il n'a pas vu le monde passer
ni la jolie femme nue dans la foule
ni la pluie d'argent couleur de rose
ni les merveilles tombant en pierre de sable solides
ni le béton d'acier envahissant le fond de la place

la vieillesse que l'accompagnait
était ancré si profondement...
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 308
24062008

POÉME 84

mon esprit obscène
le pensée dénature - la vision n'existe pas

je suis l'espectre de l'ombre
du l'inconnu policier mort
dans la fosse à ordure parmi les putains et les voleurs

la vie n'existe pas
je me suis perdu dans la nuit et dans la lumiére de l'aube
je suis revenu au monde sans couleur

MaisonBambe - Desterro1978
Saint-Louis du Maragnon, Brésil
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 370
22062008

503, RUE AFONSO PENNA - DESTERRO

de matinée -vents froid -
soleil chaud - gens pressées passent

le silence c'est coupé (ou échangé)
par le bruit de la fabrique de fil "Vainqueur"

Vive l'âme - se réveillant
pas passent en fort passées dans la froide trottoir

murmure se propagent par les couloirs des hommes et voitures
somnolence - haleines adent - fumée des cheminées des fabriques d'huile de "Babaçu"

la poésie se reveille - le soleil refroidit
le poète - la rue - la ville - les gens se éveillent...
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 354
22062008

LE CHEMIN DES ANGES

voiles tendues sur l'horizon lointain
la rumeur populaire t'agresse
mais tu ne tombes pas - tom mutisme est seculaire

générations engendrées par les générations
vous restez imunne
le progrés succombe - sous l'empreinte des temps
les hollandais ne débarqueront plus ici


maison Bambe - Desterro,1982
Saint-Louis du Maragnon - Brésil
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 287
21062008

L'ITINERAIRE NOCTURNE DU DESTERRO - I


etrange en l'entraille du passé
par les au-delá te tes latitudes être sauvage
des voix disparue rodent

une pile de verre brisé dans le recoin
la muse endormie aux seins corrompus
des espérances perdues en chiméres
ici la pierre d'angle observe le temps

la boussole affolée
egare la vie d'une lampe à mercure l'autre
et nos rêves, dévorés par les rats


Maison Bambe - Desterro,1982
Saint-Louis du Maragnon - Brésil
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 330
20062008

DEUX HEURES A L'AUBE


le froid entre la peau et l'os
l'extrémité obscure de mon monde
réfléchit dans l'espace intérieur de la pensée
la grande obscurité optique c'est bannir l'esprit oisif
deux heures à l'aube entre l'homosexuel et la prostituée
la pureté existe!


maison Bambe - Desterro,1978
Saint-Louis du Maragnon - Brésil
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 334
19062008

Vos Poèmes Empty 

IX

L'odeur de mon enfance
il promene au largue de cette rue
où aujourd'hui moi je suis un étranger
au fond de mon âme saturée d'illusions et espoir


Palais de Bibiton - Desterro,2008
Saint_Louis du Maragnon, Brésil
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 277
17062008

L'homme noir avec un pantalon blanc

La chemise rouge et un chapeau de feutre noir

Il danse sous la pluie fine

Réfléchit comme des petits flocons de neige (j'aurais écris d'espoir)

Dans le début de la nuit du Vendredi

Dans la rue des Etoiles

Entre les lampes opaques des poteaux de fer

Sur un tapis de pavés anciens

Il danse léger au milieu de la rue déserte

Comme Nourejev (?) dans le théâtre du Bolshoï


Palais de Bibiton - Praia Grande,2008
Saint-Louis du Maragnon - Brésil
 
par r.n.rodrigues - Commentaires: 0 - Vues: 302
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