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un beau matin de dimanche de soleil
le mouvement intense devant le marché de la petit ville
gens, voitures, bus, bicyclettes, charrettes - enfin la vie en fleur
assis dans la trottoir
un petit enfant turbulent
à côté d'une brouette pleine de crabes
attendait les possibles acheteurs
le regard infantile sur la foule impassibile
la pensée lointain et innocent
et les heures passaient doucement
et le soleil brûlant son preoccupé visage infantile
il... |
sa réveille et vient sentir la nature en choeur dans la parfaite harmonie céleste
la naissance d'un nouveau jour écouter la cantique des oiseaux dans le jardin sans fleur le faire du bruit des feuilles dans la vague des vents
le point de jour dans le Desterro avec ses voleurs et ses putains courrant de la police les charrettes pleines de poissons - c'est la vie que sa renouvelle au fond de nous par hausser l'espoir des temps
Desterro,1978 Saint-Louis du Maragnon-Brésil |
À Table !
A table, chacun des convives est irritable Il est donc indispensable que chacun soit, ou paraisse, charitable. Enfin cela, c’est ce que la loi de la table, ensemble de règles si respectables, Nous dicte, à tort, pour un repas...
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Quand on rêve…
Quand je rêve, je me surprends D’être aimée comme je l’attendais Quand je rêve tout devient grand Parce que j’aime aussi fort que vrai
La brillance de tes regards M’illumine de mille espoirs L’océan est mon encrier Pour ma plume qui t’est dédiée
Quand je rêve, je te surprends D’être aimé comme tu l’attendais Quand je rêve tout devient grand Parce que t’aimes aussi fort que vrai
Le satin aux creux de tes mains Cache... |
L’écume de l’enfer
citation:
« Tu joues avec l’eau et tu cries que tu as soif !
C’est étrange ! »
Ali Smaoui.
Est-ce l’eau du désir que tu verses
Est-ce la sueur de tes yeux
Ou des sanglots de mirages?
Est-ce le sang de la vigne,
Ou le vin des nuages ?
Ce que tu verses, en amante
Est venu d’un enfer marin
Sans rives pour nos... |
*ATLANTIS
Variations sur le célèbre poème ITHAQUE de CONSTANTIN CAVAFY
poème de / bouhouch mohamed * traduit de l’arabe par / nejib kaawachi
Alors que tu fendras l’obscurité et la mer.. À bord du mytique bateau errant... |
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La chambrette.- Une berçante qui vacille un corps rompu. La terrible solitude d’un silence morbide. À peine quelques sons, des murmures pénibles. L’angoisse... |
Mon amie je le sais tu es là, Absente mais à la fois présente Dans la douleur j'entend ta voix Dans ton coeur que tu ne veux que je ressente Je mesure quand même cette souffrance en toi
Il pleut dans ton coeur, et le mien pleure Tu te cache, tu me fuis, mais pourquoi ? Tu t'infliges des souffrances qui me font mal et peur J'aimerais être dans tes beaux yeux vert et me voir moi Pour comprendre ce qui te nuis ou ton malheur
Selon que tu le veux je ne peux qu'attendre Moi je te donne tout ce que je... |
A Toi Défunt
O Ma Rose A Toi Qui Es Parti Pour Des Raisons, Que J'ignore Ainsi Va La Vie L'abandon De Ton Corps Je T'offre Cette Rose
Cette Prose O Combien Morose Cette Hypnose O Métamorphose Tu Es Cette Rose O Ma Rose
Jamais Plus Je Ne Sentirai Ton Parfum
Pour toi Maman.
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Y’a
On nous ment tu sais bien Après y’a plus rien Après t’es plus rien.
Y’a des nuits puis un jour Dans un corps y’a d’l’amour Un p’tit rien qui va naître Un semblant de paraître
Toi! La femme de ma flamme Ton sillon j’ensemence Mais y’a rien dans ton âme…
T’as beau dire, t’a beau croire Tout ça c’est des histoires |
Sottise J’ai le cœur altéré Et l'âme galante. Je me sens nu : Navire sans voiles Oiseau sans plumes, Sans ailes… ... |
si...
Si j’avais une tempête Ou un marteau J’aurais martelé Toute gorge scandant Un éloge rassurant Et une espérance vaine.
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J'ai...
J’ai, au fonds du cœur, mon unique amour, ma belle âme sœur, les sons d’un tambour battements d’enfer, tendres éclaircies, |
La Vieillotte.- Elle se berce en des mouvements répétitifs, agressifs. L’œil hagard à la mesure de sa compréhension, génuflexion. Des mains crevassées par des blessures indues, confondues.
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Ma reine est en vacances Sa princesse en partance L'absence est un délit Qui se vautre dans mon lit Mon train se cache d'un autre Qui se croit bon apôtre A dire des mensonges incertains Aux nues des accroches chagrin Je babille en misèrable Des sentiments vulnérables Alors je franchis la barrière De l'empreinte routière Je torrée l'animal contre-sens Qui frôle mon cap d'éspèrance Mais je vehicule un navire Sur le ballast du pire Quand déraille mon désapris Dans un voyage sans esprit. |
Ils se demandent : qui est ma bien-aimée
Rawan Ali chérif / Algérie
Traduction : jamel jlassi / Tunisie
J’ai lui dit une fois ; merci pour le cadeau, mais… La vie est pleine de surprise, tant de fois ils m’ont avisé pour m’éloigner de sa route, pour qu’elle ne me démolit pas à sa façon… Je l’ai bien regardé, plein...
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ENVOL DE NUIT
le jour au crépuscule sur la baie d'Ha Long l'ignare chante quand la montagne folle se jette à la mer dans un chaos lunaire
baie fantasmatique
la fraîcheur d'orient caresse ma main je m'envole corbeau au-dessus des monts rongé par la mer et la pluie des moussons
baie de pains de sucre
la brume entre cimes se couche en linceul sur l'anse de deuils village en barque esseulé aux terres d'où s'écoule... |
Conversation inespérée.-
Un passant m’interpelle : « Qui êtes-vous? » « Je suis rêveur au gré d’un vent anonyme », lui dis-je. Surpris, il continue : « Je ressens de la douleur… » « Ce mal m’habite, ancré dans une chaumière glaciale », ai-je répondu. « Chassez cet intrus! », me supplia-t-il. « J’essaie mais l’esprit est hagard », d’une voix incertaine. « Alors, armez-vous de mots convaincants. », d’un ton assuré. « Je titube, la faiblesse m’afflige, la déroute. », d’une voix chancelante. « Donc, vous êtes le vent, un vent...
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La croisée des chemins .(traduit de l’arabe par ROBERT LE DU ET SON AUTEUR°
Depuis belle lurette (1), il n’y avait que Dieu, et Oran ma ville natale. Sanaa ressemblait à Oran, toutes deux éblouissantes et conservatrices, tirant de la méditerranée une... |
Octave blanche où s’étreignent les pétales de confettis
FEVRIER absorbe ses masques dans une nébulosité givrée
Les rues paradent sous une houle de regards asymétriques
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* Dieu que les colombes sont belles Qand effleurent leurs ailes... sur nos joues *
Dieu que la souffrance est cruelle Qui embrasse des mots A embraser les eaux *
Colombe qui cherche paix L'aventure c'est du vent! Apporte-nous pour bienfaits Des sourires géants *
LRD |
Petit lutin.-L’oiseau courageux.Force de vivre.La leçon de survivre.L’oiseau chanceux. |
ESPRIT DE SEL
Des festons de printemps sur tes revers Des garces pour courtiser leurs égos Des vies qui semblent tourner le dos Dès que demain te salue, c'est là guerres
Une courtisane peut choisir le mauvais Roi Une âme s'égarer en son chemin Une fleur se tromper dans son parfum Une erreur dans le temps: et c'est l'effroi
Tu crains que la couleur ne soit dire Tu ne sais courtiser qu'être futile Tu mourras dans... |
La Maison Dans Mon Enfance… Entité sous un ciel de jaspe tourmenté Faisant... |
Un certain Noël
Une joie givrée dans un scintillement coloré.
Le bambin ébahi s’amuse, douce brillance. |
…ET TOUT S’EN VA * A : MARYROSE
…Elle est très belle Tout en elle est élégance De sa démarche régulière A sa légère parure sans égale Ses yeux sont immenses Deux océans insondables Où on ne perçoit aucun rivage Mer profonde et insoupçonnée Où tout rameur perd son repère… ! On la regarde, on soupire Et les uns versent des larmes… Derrière... |
Influencé par nos jeunes Auteurs, je glisse (enfin?) vers des horizons poètiques plus modernes. Ho! je n'ai ni le talent ni l'âge (sinon à l'interieur) pour vous égaler, mais en faisant de mon mieux, voici ce que cela peut donner dans une ode dont je vous laisse imaginer "le verbe chanté a capella" avec la voix expressive des sentiments profonds.
NB: si vous méconnaissez le SLAM, je vous invite à lire mon article dans la rubrique: NOUVEAU sur le FORUM, et bien naturellement à déposer votre propre message pour le plaisir des autres.
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Un mot… oui un mot, Une émotion délivrée tendrement, Un amas de lettres suivant un ordre donné, Une envie, une idée, un je ne sait quoi, Un « mot » c’est un univers particulier, Une onde de joie et de tristesse.
Deux mots et nous voilà unis, Deux cœurs à l’unisson, Deux mots, une joie de plus, Des yeux qui me disent « allons-y » Je t’aime.
Trois mots, puis quatre, Et l’univers grandi, Deux petits mots suivant les grands, Un quatuor... |
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Terre d’ocre À la chaleur épicée Astre opalin Suivant ma ligne de vie Songe d’hier.
Courbe du temps Opposé au néant destructeur Libre pensée Seconde immobile en partance Rêve d’aujourd’hui.
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SECRET D'UNE NUIT (par Robert Le DU)
Aphrodite est venue en secret dedans mon lit La belle s'est glissée doucement dans le noir de ma nuit Séduisante chimère, caressante au tendre délit Corps velours éphémère taquinant quelque rêve enfouit
Ô amour poème, écrit qui ressemble Au sillon... |
¤*¤ Une couronne d'épines lui ceint la tête L'osmose grandit et conforte ma quête. La chorale rebondit sur le grand vitrail : Flammes en mon cœur carton-paille,
Ma voix ténor à l'unisson de la portée, La messe des chrétiens est célébrée. Les... |
L'ENFANT BLESSE (rapport 5/7/4=16) Enfant d'Arménie: Au coeur du reg solarium, Enfant blessé!
Il vit contre jour, Contraste en clair-obscur Le rai précieux.
L'amante Mante, Religieuse cruelle: Coeur dévorant.
Trébuchet piégeur Assassinant l'Artiste D'oiseaux-lyres.
L'enfant s'étiole Emprisonné par le ciel Perlé bleu- gris.
Sanglots... |
MON ABRIBUS J'aurais jamais dû le quitter Il etait notre bistro des copains c'est là que j'ai connu myram Dans un décor de tags incertains
J'aurais jamais dû le quitter Mon royeaume de la clope C'est là que je venais le soir Pour imbiber mes désespoirs
A présent je home-studio Les pieds lattés genre pantoufle Dans ce rade sans mes potes Je me prends pour Aristote
A présent je médite au passé Car je bosse comme un cinglé Myriam lassée m'a... |
Le mendigot.-
Tu sens l’urine, l’odeur des pauvres.
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DE MON ABRI… A : Julienne Pinkiewicz
… De mon abri je fais un port Où tous les bateaux peuvent accoster… ! Un grand port de plaisance Et un port pour les voyageurs Et je vois du seuil de la porte De jeunes marins hisser les voiles D’autres longer les différents quais J’écoute la mer qui joue du piano Les échos qui chevauchent les échos L’écume se détache de la longue étreinte Et qui vient se reposer sur le sable fin Je suis le soleil dans sa montée Confiant de retrouver... |
Cœur clos
citation:
« Quel homme n’a jamais transgressé ta loi, dis ?
Une vie sans péché, quel goût a-t-elle, dis ? |
un soir...
Un soir au balcon, assis dans le vide du néant, J'ai entendu le hurlement des eaux affligées ; le ruissellement des lumières affreuses et ténébreuses et les pleurs des mots. J'ai entendu les retentissements de voix noyées et les cris chatouillés de la recréation. J'ai vu des spectres d'âmes dans la tourmente, des violons frémissants et des chants sanglants. Des miroirs magiques. J'ai vu des funérailles de joie, des crânes, des squelettes gelés, des séquences de souvenirs lointains, des pluies glaciales et un deuil de rêves.... |
citation:
« Le paradis et l’enfer sont en toi. »
Omar Khayyâm.
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L’espérance rêve ou désir est la pythie des sentiments |
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Le Berceau des Enfants dieux (acrostiche)
Les cieux bercent des dieux:image des humains Emergés de pontos ou du jardin divin...
Bannis d'avoir goûté, naïfs sous les figuiers Enlacés par l'amour, les lèvres fruitées Renvoyés pour cause d'étreintes sucrées; Ceux-là créés pour tel, seraient parents charnels Engendrés d'argile, par Dieu l'universel... A la source d'esprit: la philosophie; |
Dans une buée frivole ils s’avancent impatientsD’atteindre... |
Havre de paix.-
Un paradis charmeur à la mesure d’un espoir.
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Langueur et mélancolie Compagnes fidèles et lourdes de ma vie, Qui glisse le long de votre sourire. Nichées au creux de mon âme, Vous réveillez au gré de vos envies L'accablante douleur des souvenirs... Sous l'incessant va et vient de votre plaisir, Les... |
Elle, au combien……. !!!!
Elle, au combien ……. !!!!
Autrefois j’ai connu une femme, une vraie, qui m’a donnée des ailes Plein de vie, plein d’humour, de rire et de dentelle Femme dans lesformes, les yeux, oh mon Dieu ; combien elle était elle Mon esprit en feu, la tête dans les étoiles au septième ciel Avec elle j’imaginais une vie aux couleurs pastel Ensemble amis pour toujours et rebelle Oui je me sentais avec elle immortel.
Je me suis battu avec un démon, qui semble avoir sur les gens... |
Vous ai-j aperçu ? Dans une fuite il me semblaitPourtant vos yeux essuyaient mon trouble |
Ô ma Reine
Tu es ma Reine
Je suis ton Corsaire
Ta raison et ma peine
Les mers de la vie j'erre pour te satisfaire
Pour que même seule dans ton ennuie, tu aimes
Pour que dans ma solitude, j’ai encore envie de mer
Étrange passion que la mienne
Étrange ressentir qu’est le notre
Étrange sensation que la tienne
Étrange vie, est-ce la notre ou pour d’autres ?
Sur mon galion l’orage s’abat
Ô toi ma Reine ton cœur... |
Les quatres saisons
Bonjours printemps, d’amour toujours
Cupidon et de retour pour les cœurs amoureux
Bonjours printemps, au soleil d’amour
La pluie calme les chaleurs des corps amoureux
Que vivent ses âmes d’amour toujours
Que ces nuits torride soit tout à eux
Amour brulant semblable à l’été
Donnant naissance toujours au futur
Nait de l’union du |
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